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"Une expo pas comme les autres"
--> Tequila Sunrise
 

"Une exposition pas comme les autres"
Ecrit par Tequila, pour votre plaisir...

21h, ça allait commencer. Tous les journaux parlaient de cet évènement comme le plus important de l'année. Moi, Pablo Hernandez allait peindre lors d'une exposition. N'importe quelle femme viendra se dévêtir afin que je puisse la peindre.

Des chroniqueurs, des politiciens se mettaient à affluer. Mais surtout, surtout des magnifiques femmes. Des magnifiques femmes aux corps élancés, fins, aux jolies formes...Ayant des chevelures rousses, brunes ou blondes...Des robes de toutes les couleurs et de toutes les matières existantes.

Je m'imaginais peindre chacune de leurs courbes uniques.
En devenant peintre, j’avais envie que des personnes ressentent de très fortes sensations à la vue de mes tableaux. Je veux que des hommes passent devant ces tableaux et ressentent du désir pour ces femmes. Je veux que leurs compagnes aient envie de faire l’amour à ces femmes. Je veux que le Pape regarde mes peintures et ait une envie insurmontable de toucher ces femmes, de les caresser, de les pénétrer…

Pablo ? Tu m’écoutes ? Je vais te présenter quelques personnes qui désirent te rencontrer. Voici, Maria et Gérard Stram.

Cette femme était d’une telle beauté. Rien qu’en la voyant je brûlais d’envie de détacher ses longs cheveux noirs, de lui enlever cette robe rouge qui laissait entrevoir une magnifique poitrine bien rebondie. Je sentais mon pénis se contracter. Lui aussi, avait envie de découvrir intensément cette femme.
Selon moi, à chaque femme une position différente. Pour elle, je voyais quelque chose de très sensuel, une position où l’on pouvait se regarder dans les yeux mais en même temps qu’il y ait de la domination.

Je décidais de profiter que ce désir soit en moi pour commencer à peindre. La première qui arriva vers moi fut une grande femme à la crinière rousse. Ses cheveux bouclés sur le devant de son visage laissaient entrevoir de magnifiques yeux verts en forme d’amande. Elle fit glisser le long de son corps une robe bleue en soie. Cette femme se retrouva en face de moi vêtue d’un seul string noir. Je m’approchait d’elle, m’assis à genoux afin d’avoir ma bouche en face de son pubis. Je fis glisser son string le long de ses grandes jambes douces et brillantes, je m’y attardai afin de conserver chaque parcelle de son corps pour quand je déciderai de la peindre.


Sentant qu’elle était de plus en plus gênée, je retournai à mon chevalet afin de commencer mon croquis. Chaque courbe, chaque expression de son visage me faisait frissonner de plaisir. Afin de la détendre encore un peu plus je mis de la musique. Elle susurrait: "Give me a reason to love you/Give me a reason to be, a woman."

La chanson lui plaisait beaucoup et cela se ressentit quand je lui demandai de bouger. Ses gestes étaient sensuels et doux. Je ne pouvais plus résister.


Je la rejoignis, allongée sur un drap blanc, m’approchais d’elle, enlevait ma chemise et mon pantalon. Ses yeux bleus me transpercèrent comme s’ils me suppliaient de me dépêcher. Je m’allongea sur elle et on s’embrassa. Nos baisers furent langoureux et rapides. Je sentais sa respiration s’intensifier, ce qui m’excitait encore plus. Je lui lécha tout doucement le bout des mamelons, les lui mordilla. Elle pousse des gémissements de plus en plus fort.

En prenant la bouteille de champagne qui se trouvait à proximité, j’en fis couler le long de son corps et le lécha tout doucement. Elle frissonna. De plaisir ou de froid  je ne sais, mais ce que je peux dire c’est que mon excitation était de plus en plus grande. Je glissais le long de son corps, mis du champagne sur le bout de ma langue et lui lécha le clitoris tandis que mes mains continuaient de jouer avec sa poitrine. Les gémissements se faisaient de plus en plus fort. Son corps commençait à trembler. Je continuais de l’exciter de plus en plus quand du coin de l’œil je vis une femme qui n’arrêtait pas de nous observer. Petit à petit elle se déshabillait tout en se rapprochant.

Elle se mit à quatre pattes et je la pénétrais tandis que ma bouche était dévouée à l’autre femme. Je pouvais les entendre hurler de plaisir, plus rien ne pouvait nous arrêter. Les gens s’empressaient autour de nous et nous regardaient avec le plus grand des plaisirs, ils sentaient le désir monter. Je laissais mes deux femmes entre elles et alla en rejoindre une autre. Je la vis, la reconnut, c’était Maria. Je pris deux verres et lui en apportais un. Elle s’était isolée de tous.

Nous discutâmes quelques minutes mais je sentais des regards insistants sur mon sexe. Je pris ses bras avec férocité laissant se fracasser nos verres parterre. Je la plaquais contre le mur et souleva sa jambe pour la presser contre la mienne. Je m’introduis en elle tout en continuant de la regarder dans les yeux. Son regard m’incita à continuer encore plus sauvagement. Je savais combien elle aimait ça. Mon coup de rein était de plus en plus fort. Elle rugissait de plaisir. Mes mains ne la laissaient pas bouger et visiblement elle aimait ça malgré ses tentatives pour s’en dégager qui faisaient que je la retenais de plus en plus fort. Me lassant de cette position, je la mis à 4 pattes et lui donnais des fessées de plus en plus fortes. Dans l’excitation qu’était la notre, je me retrouvais allongé, elle accroupie sur moi. Elle s’empara d’un glaçon, le mit dans sa bouche pour me faire une fellation. Les sensations que ce glaçon engendraient sur moi était inouïes !

Chaque parcelle de mon pénis la réclamait, avaient besoin d’elle. Je ne pouvais plus me retenir, je n’y arrivais plus. Je lui fis signe que j’allais bientôt éjaculer mais elle resta sur place. Après m’être lâché, je voyais sur son corps du sperme. Il y avait une goutte qui coulait entre beaux seins ronds pour arriver au nombril. Je pris le champagne et lui lava le corps avec. Ses mamelons étaient pointus je ne pouvais plus m’arrêter de les lécher tout en douceur.


Après toutes ces émotions, il était temps que je me mette au boulot. Je pris une toile qui était à ma portée. La renversa par terre. Pris un pot de peinture vert pomme et le fit couler le long du corps de ma partenaire. Je plaquais celle-ci contre la toile et la pénétra de dos afin que la peinture s’applique encore plus facilement.

Son corps luttait contre mes mouvements brusques. Maria hurlait littéralement de plaisir. Avec mes doigts, je me mis à la recherche de son point G. Je le trouvai très facilement. A chaque tapotement de mes doigts dessus, elle ne pouvait plus se contenir. Son corps tremblait de désir, des larmes coulaient le long de son visage. Après quelques minutes, je sentis qu’elle n’avait plus de force et que son plaisir se transforma en douleur. J’arrêtais aussi net.
Quand elle se releva, la toile était absolument impeccable Jamais une toile ne fut pareillement réussie. On pouvait voir la courbe de ses seins, de ses hanches que j’avais moi-même touché et cette idée me faisait encore frémir de plaisir, je n’entendais plus rien à part ses cris de plaisir…
J’étais content de mon œuvre et je savais, que cette toile allait être un succès.

Le lendemain on put lire dans les journaux :
« Jamais une telle exposition n’avait eu lieu dans notre ville. Les gens se sont empressés pour découvrir les toiles de notre jeune prodige national Pablo Hernandez. Ses œuvres sont une véritable apologie de la femme ! Selon certains dires, le peintre aurait envoyé une de ses toiles au Vatican. On raconte même qu’un cardinal l’aurait accroché dans sa chambre…À vérifier… Courez voir cette exposition, jamais vous ne ressentirez de telles émotions. Un orgasme à côté c’est comme si on vous donnait une pomme alors que vous mourrez d’envie d’un crumble ! Attention, pour public averti toutefois, et majeur...ambiance très particulière !
Peut-être nous y verrons nous.

M.h »
Journaliste dans "Le monde de l'érotisme"

Ecrit par , le Mardi 6 Juin 2006, 16:37 dans la rubrique A consommer sans modération-Public averti + 18 ans..